La nouvelle ligne graphique des textes de James Morrow au Diable vauvert.
La nouvelle ligne graphique des textes de James Morrow au Diable vauvert.
Une satire rétrofuturiste biopunk, voyage jubilatoire au centre de la terre – ou plutôt sous sa croute – qui se confronte aux grands questionnements humains et convertit l’angoisse climatique générale en éclat de rire. Pourrais-tu travailler un peu plus en volutes dans l’esprit de celui de L’Arche de Darwin ? Il faudra peut-être dégommer un peu l’image champignon/ville pour laisser le centre de la couverture au bloc titre/auteur
Depuis toujours, Lazare maintient mordicus qu’il n’a jamais été ressuscité. Quand d’étranges visiteurs l’invitent à bord d’un fabuleux vaisseau mécanique dirigé par un automate à tête de crocodile, il embarque pour une épopée dans l’espace et le temps qui le conduira du New York des années 1960, aux Saintes-Maries-de-la-Mer, à explorer les grands lieux du christianisme, revisitant avec humour l’histoire de notre civilisation.
Actrice sans rôle, Chloé Bathurst décroche un emploi de gardienne de zoo chez Charles Darwin où elle rencontre toutes sortes d’animaux exotiques. Pour sortir son père de l’hospice, elle vole la première mouture de la théorie de l’évolution et s’inscrit au Grand concours de dieu, qui offre 10 000 £ à qui prouvera ou réfutera l’existence d’un être suprême. Pour traduire l’univers aussi loufoque qu’éminent érudit en théologie le studio Off détourne les codes des planches botaniques pour créer une image humoristique.